Le très éminent philosophe de la guerre et de l’argent, Bernard-Henri Lévy, a encore frappé. Il accuse ce coup-ci les journalistes du média en ligne Mediapart « d’assassins », suite à l’affaire des dîners fastueux de l’ancien Ministre de l’écologie François de Rugy. Voici son tweet.
Les assassins de #DeRugy, ses amis qui, comme aux jeux du cirque, consentirent à la mise à mort, les vertueux, les vertueurs, les maniaques de la transparence qui ont crié avec les loups, n’auraient qu’une façon de réparer un peu: demander pardon. Mais il ne faut pas rêver. Hélas
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) July 21, 2019
Non, la mort, c’est quand il y a par exemple la guerre. Comme en Libye.
Pour le reste, François de Rugy rêvait du modèle suédois pour la transparence (sept. 2017 in Le Courrier du Parlement). Mais en France, on aime les modèles étrangers à condition de ne pas se les appliquer. https://t.co/125qjJ7cmk
— Fabrice Arfi (@fabricearfi) July 21, 2019
BHL, l’envoyé de la France à l’étranger, dans des pays où il prépare des guerres pour du pognon, où il se plaît à déstabiliser des régions entières en commanditant des actions terroristes tels que des assassinats, ce au profit du gouvernement français (la Libye en est exemple, à l’instar de Soros et de l’Ukraine), a donc décidé de s’exprimer sur un sujet dont la majorité des français estiment être choqués.
Poussant le ridicule au plus loin, BHL demande à Mediapart de poster des excuses. A aucun moment, l’homme décide de défendre la liberté d’information, non, les journalistes qui font leur job sont pour lui des « assassins ».
Ce préparateur de commandes est désolant, un chef de guerre atteint de démence.
Via : Wikistrike