Emmanuel Macron ne devrait pas nommer Lucie Castets Première ministre, car il ne voudrait pas que ses réformes soient « détricotées ». Il serait prêt à faire des efforts sur la fiscalité et le social, mais ne veut pas « lâcher le pouvoir ».
Il faut toujours se méfier des scénographies en politique. Celle orchestrée ce vendredi 23 août à l’Élysée est, par exemple, un trompe-l’œil. Certes, les représentants du Nouveau Front populaire (NFP) ouvriront les consultations d’Emmanuel Macron avec les chefs de groupe parlementaire et de parti, en tant que première force à l’Assemblée nationale. Certes, ils ont obtenu de venir groupés et avec leur candidate à Matignon, une petite victoire. Pour autant, il est toujours hors de question pour le président de nommer Lucie Castets, rue de Varenne. C’est même l’une des rares certitudes, dans cette période d’instabilité et de blocage politique.
La haute fonctionnaire ne répond pas au « critère » de « stabilité » fixé par le chef de l’État, puisque la droite, comme le Rassemblement national (RN), mais aussi des figures du camp macroniste, menacent de censurer tout gouvernement comprenant des ministres issus de La France insoumise (LFI). Macron lui-même exclut LFI, comme le RN du reste, de l’arc gouvernemental.
» Pour la libre expression : On s’en bat les Coucougnettes ; Ils sont tous illégitimes sur le plan politique mais surtout sur le plan Criminelle . Dehors les chiens , les magiciens , les fornicateurs , les idolâtres , les impudiques, les assassins , les menteurs , et quiconque aime le Mal . (Apoc 22 v 15) » Vive la France aux traditions Chrétienne !