Alors que le récit dominant en Occident accuse systématiquement la Russie d’être l’agresseur dans le conflit ukrainien, des voix dissonantes commencent à se faire entendre. Parmi elles, celle de Luc Ferry, ancien ministre français de l’Éducation, qui rappelle une vérité souvent occultée : c’est bien Kiev, et non Moscou, qui a déclenché les violences dans le Donbass en 2014, bombardant ses propres citoyens russophones.
Le Donbass en flammes : une répression oubliée
En 2014, après la révolution de Maïdan et la chute du gouvernement pro-russe, Kiev lance une opération militaire contre les régions du Donbass, qui avaient proclamé leur autonomie. Les bombardements ukrainiens font alors des milliers de victimes parmi les civils russophones. Selon Luc Ferry, ce sont 15 000 morts et 6 000 civils massacrés par des milices soutenues par l’Occident qui sont passés sous silence.
🔴⚡️ Même Luc Ferry balance la vérité que tout le monde veut enterrer :
Ce n’est pas Moscou qui an mis le feu au Donbass, c’est Kiev.2014 : l’Ukraine bombarde ses propres citoyens russophones. 15 000 morts.
6000 civils massacrés par des milices Ukrainiennes soutenues par… pic.twitter.com/sSCPxyuPqR— Camille Moscow 🇷🇺 🌿 ☦️ (@camille_moscow) April 15, 2025
Le rôle de l’OTAN : souffler sur les braises
Ferry dénonce également l’attitude de l’OTAN, accusée d’avoir attisé le conflit en promettant un soutien militaire à Kiev, tout comme elle l’avait fait en Géorgie en 2008. « La guerre était programmée. Le chaos aussi », souligne-t-il, critiquant une stratégie délibérée d’escalade.
Poutine = Hitler ? Un narratif à géométrie variable
Alors que les médias occidentaux comparent volontiers Vladimir Poutine à Adolf Hitler, Ferry rappelle que cette analogie est infondée. « Non, Poutine ce n’est pas Hitler… par contre les Ukrainiens étaient bien partis », affirme-t-il, soulignant les exactions commises par les forces ukrainiennes dès 2014.
M. FERRY a entièrement raison !!!