Natacha Rey a mené une enquête approfondie pendant trois ans afin de vérifier la biographie officielle de Brigitte Trogneux, épouse Macron.
Elle a ensuite publié les conclusions de son enquête dans une vidéo et sur Facebook.
Aujourd’hui, elle fait l’objet de poursuites judiciaires devant la cour d’appel de Caen (I) et la Cour de cassation (II).
I. Procès controversé devant la cour d’appel de Caen
Devant le tribunal correctionnel de Lisieux puis en appel à Caen, Natacha Rey a été accusée de diffamation par les époux Auzière, anciens membres de la famille de Brigitte Macron. Ces derniers lui reprochent d’avoir rendu publics sept discours jugés diffamatoires.
Or, selon Natacha Rey, elle n’a jamais publié ces discours. Ils auraient été rédigés par le rédacteur de la citation à comparaître, agissant pour le compte des époux Auzière.
L’un des discours incriminés, le numéro 7, est le suivant :
« Qu’en toute connaissance de cause, Monsieur Jean-Louis Auzière, en ce qu’il aurait falsifié la photographie officielle du mariage de Madame Brigitte Trogneux pour y apparaître et jouer le rôle d’un faux mari n’ayant aucune existence physique. »
Toutefois, les deux copies d’écran Facebook jointes à la citation à comparaître ne contiennent pas ce discours, ce qui suggère qu’il aurait été fabriqué de toutes pièces dans le but de faire condamner frauduleusement Natacha Rey.
Malgré ces éléments, le juge Patrick Picquendar, bien que conscient que les discours n’avaient jamais été publiés par Natacha Rey, l’a déclarée coupable de diffamation. Selon elle, cette condamnation résulte d’une manipulation judiciaire et d’un abus de procédure en faveur des époux Auzière.
II Procès truqué devant la cour la Cour de cassation
Le pourvoi en cassation a été rejeté, sous la responsabilité du juge Nicolas Bonnal, qui a été parfaitement informé de cette très grave escroquerie au jugement en bande organisée.
Natacha Rey porte l’affaire devant la Cour européenne et va citer devant le tribunal correctionnel de Paris tous les auteurs et complice de cette escroquerie au jugement.
Via : François Danglehant sur son compte X
Lire aussi : « Emmanuel Macron et André Gide, l’hommage troublant d’un président à un écrivain pédophile » : Candace Owens