Oui, Clinton peut encore remporter la présidentielle! Mode d’emploi

Cela semble incroyable, mais Hillary Clinton n’est pas totalement grillée, et la victoire ainsi que son accès à la Maison-Blanche peuvent encore lui revenir, même si les chances sont au final plutôt minces, elles sont là. Pour l’instant, Donald Trump songe à poursuivre Hillary au sujet de l’affaire des e-mails, une histoire très instructive qui met bien en évidence le côté psychopathique de la dame, mais il ne faut pas oublier qu’Obama est toujours au pouvoir et que celui-ci n’exclus pas la possibilité de gracier la gracier. Juste pour la petite information, Donald Trump connaît très bien le sujet, car il cumule 4000 poursuites en justice à son encontre ces 30 dernières années, dont 75 toujours en cours.

Et si cela se confirmait? Et si grâce au collège électoral des États-Unis le pouvoir était finalement donné à Hillary Clinton, cela serait-il une bonne nouvelle? un déni de démocratie? une trahison ou un miracle? À votre avis?

Il semble que tout ne soit pas perdu pour la candidate démocrate Hillary Clinton: elle aurait encore une possibilité, la toute dernière celle-là, de prendre le dessus sur Donald Trump. Son dernier espoir? Le collège électoral des États-Unis.Pour tous les Démocrates intransigeants, il existe une dernière possibilité de gagner la course à la Maison Blanche : un revirement de dernière minute au sein du collège électoral des États-Unis. Conformément à la Constitution américaine, les grands électeurs du collège électoral sont des personnes physiques votant le 19 décembre pour le futur président des États-Unis dans les capitales de leurs États respectifs.

Cependant, rien n’empêche qu’ils s’abstiennent de voter ou qu’ils ne votent pas pour le candidat choisi initialement. De tels grands électeurs, on les appelle en l’occurrence des « électeurs infidèles ». Cette idée — ou plutôt cette pratique — ne date pas d’hier, loin s’en faut. À titre d’exemple, cette « manœuvre politique » a été beaucoup discutée en 2000, lors de la course à la Maison Blanche entre George W. Bush et Al Gore, bien que les cas de revirement de dernière minute aient été très rares cette année-là. D’après certaines analyses effectuées par le journal New York Times, plus de 99 % des grands électeurs ont toujours voté par le passé comme « il avait été prévu initialement ». En outre, les électeurs infidèles pourraient faire l’objet de poursuites administratives dans 29 États américains au cas où ils ignoreraient la volonté de leurs électeurs. Cependant, Donald Trump a déjà 279 voix sur les 270 nécessaires. Il faudrait donc qu’au moins 10 grands électeurs changent leur vote. Et même si d’aventure une telle chose avait lieu, cela ne veut pas dire que Trump ne serait pas élu, souligne le Huffington Post. En effet, la seule fois où ces électeurs sans foi eurent un impact, ce fut en 1836. 23 électeurs de Virginie refusèrent de soutenir le vice-président Richard Johnson car celui-ci était accusé de vivre avec une afro-américaine. Trump, lui, vit avec une Slovène. Donc rien à craindre de ce côté-là…

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