Le sommet Trump-Poutine a marqué un tournant historique. Un mur est tombé, et ce n’est pas celui de la honte, plutôt celui de l’hégémonie européiste. Tandis que Trump et Poutine signent un accord géopolitique inédit, l’Union européenne, seule et désemparée, tente maladroitement de justifier son existence.
Sommet Trump-Poutine : une entente qui secoue Bruxelles
Ce sommet marque un tournant : une cordialité perturbante pour les élites bruxelloises, qui voient leur locomotive du mondialisme se déliter. Pendant que les deux géants évoquent accords économiques et lever des sanctions, Macron et ses lèche‑pompes étouffent de rage dans l’ombre. L’UE, aveuglée par son obsession anti-russe, se retrouve isolée — incapable d’admettre qu’on peut construire la paix sans elle.
L’UE, ce soldat isolé d’une guerre qu’elle a elle‑même attisée
Tandis que Trump enterre l’absurde « Russiagate », les européistes s’accrochent à leurs démons : menaces cyber, fantasmes d’armée européenne… Tout y passe pour empêcher cette détente. Mais ce monde a changé. Et aujourd’hui, la véritable menace pour la paix, c’était… l’Union européenne elle-même.
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