« Un vieux bonhomme flippant » : Candace Owens attaquée en justice par Brigitte Macron

Une routine de procès pour Candace Owens

Candace Owens ironise sur sa « routine matinale » : se réveiller, s’étirer, prendre un café, et recevoir une assignation en justice. Cette fois, c’est Brigitte Macron qui s’en prend à elle, dans une tentative risible de museler une journaliste qui ose poser des questions gênantes. Loin de trembler, Candace Owens transforme cette attaque en spectacle, ridiculisant l’audace d’une « Première dame » qui, selon elle, « écrit l’histoire, mais de la mauvaise façon ». Ce procès, loin de l’intimider, ne fait qu’amplifier la voix d’une femme qui refuse de plier face aux menaces.

« C’est totalement anormal qu’un président en exercice prenne l’avion pour rendre visite à un autre président en exercice, discuter de l’Ukraine et de la Russie, puis le prenne à part et lui demande : ‘Dis-moi, tu connais Candace Owens comme podcasteuse ?’»

Une stratégie de relations publiques vouée à l’échec

Candace Owens dénonce avec un cynisme mordant ce qu’elle qualifie de « stratégie de relations publiques évidente et désespérée ». Elle révèle que les avocats de Macron ont contacté la presse – Financial TimesNew York TimesCBS News – avant même de notifier son propre avocat, preuve d’une opération médiatique visant à salir sa réputation plutôt qu’à chercher justice. Pire encore, la plainte contient des accusations farfelues, comme des allégations de « mensonges antivaccinaux » ou de « clichés antisémites », qui n’ont aucun lien avec le cœur du litige. Cette tentative de diffamation trahit la panique d’une élite qui craint que ses secrets ne soient exposés.

« Tu as rossé ton mari devant le monde entier dans un avion. C’est toi la brute ! »

Un défi lancé aux élites corrompues

Avec sa verve habituelle, Candace Owens accuse Brigitte Macron de vouloir détourner l’attention des scandales qui entourent son entourage, notamment des liens avec des figures controversées comme Mimi Marchand. Elle va plus loin, défiant directement « la Première » dame avec une ironie cinglante : « J’enverrai mes médecins te faire une prise de sang. Fais vite ». Ce ton bravache illustre sa détermination à ne pas céder face à ce qu’elle appelle un « syndicat sadique », liant cette affaire à des enjeux plus larges, comme le scandale Epstein, où les puissants protègent leurs intérêts au mépris de la vérité.

« Parce que j’avais du pouvoir sur cet élève et que j’ai essayé de le séduire, pas parce que je ressemblais à Claudia Schiffer, mais parce que je suis juste un vieux bonhomme flippant. »

Un combat pour la vérité

Candace Owens se pose en rempart contre la corruption des élites, déclarant avec une assurance galvanisante : « Vous avez trouvé votre adversaire ». Ce procès, loin d’être une menace, devient une tribune pour exposer les incohérences et les mensonges d’un pouvoir qui, selon elle, manipule la presse et les tribunaux pour se protéger. En s’appuyant sur des preuves accumulées dans sa série « Becoming Brigitte », Candace Owens invite le public à ouvrir les yeux sur une réalité « dégoûtante ». Cette bataille judiciaire, orchestrée par une « Première dame » en perte de contrôle, ne fait que renforcer la détermination d’une journaliste prête à tout pour faire éclater la vérité.

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