Une djihadiste française : «Notre aventure n’était pas top, on veut rentrer»

L’AFP a rencontré des Françaises qui avaient rejoint le groupe État islamique et sont désormais détenues dans un camp. Témoignages.

«S’il y a un rapatriement, on aimerait bien ne pas être séparées des enfants et qu’on reste ensemble, insiste Nour, 23 ans. Si c’est pour nous séparer, franchement, je ne vois pas l’intérêt de nous rapatrier. S’ils nous laissent nos enfants, et qu’on écope d’une petite peine, et puis après qu’on peut refaire notre vie normale, oui. Mais si c’est pour prendre 10 ans de prison, que mes enfants soient placés à la DDASS (ndlr: les services sociaux), et que je ne sais pas où ils sont, non. On a fait une aventure, c’était pas top, on veut revenir, c’est tout», conclut-elle.

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