Plusieurs cas de la maladie, habituellement endémique en Afrique de l’Ouest, sont apparus début mai aus Etats-Unis et dans plusieurs pays européens. L’agence de l’UE chargée des épidémies surveille la situation « de près ».
Le premier malade a été signalé, le 6 mai dernier, au Royaume-Uni. Depuis, les autorités britanniques ont recensé neuf autres cas qui, à l’exception du premier individu infecté qui avait récemment voyagé au Nigeria, ont tous contracté la variole au Royaume-Uni. « Ces derniers cas, ainsi que les informations faisant état de cas dans divers pays européens, confirme ce que nous craignions initialement, à savoir qu’il puisse y avoir une transmission de la variole du singe, aussi connue sous le nom de ‘Monkeypox’ au sein de nos communautés », a détaillé à l’AFP la Dr Susan Hopkins, principale conseillère médiale de l’agence britannique de sécurité sanitaire (OKHSA).
L’Italie a fait état ce jeudi d’un premier cas de variole du singe chez un humain, après une série de cas européens et nord-américains de cette maladie habituellement endémique en Afrique de l’Ouest.
Quel timing cette histoire de variole du singe (#monkeypox).
Juste à temps pour faire accepter les changements du Règlement Sanitaire International, pour que les nations abandonnent leur souveraineté à l’OMS. Ils seront discutés pile du 22 au 28 mai 2022…https://t.co/PxiI8oWexD— M*m*tch* (@mmtchi) May 18, 2022