François Cocq : J’accuse ! J’accuse le préfet Lallement, Castaner et Macron d’être des fauteurs de troubles et d’organiser le laisser-faire pour interdire la manifestation déclarée et tenter de délégitimer le mouvement #Acte53
J'accuse ! J'accuse le préfet Lallement, Castaner et Macron d'être des fauteurs de troubles et d'organiser le laisser-faire pour interdire la manifestation déclarée et tenter de délégitimer le mouvement #Acte53 pic.twitter.com/rfXq6a1kkK
— François Cocq (@FrancoisCocq) November 16, 2019
Le préfet de police de Paris n’est «pas dans le même camp» que les Gilets jaunes
Répliquant devant les caméras, place d’Italie à Paris, à une femme au lendemain de l’acte 53 des Gilets jaunes, le préfet de police Didier Lallement lui a dit qu’ils ne se trouvaient «pas dans le même camp». Médias et politiques réagissent.
Le 17 novembre, au lendemain d’affrontements violents sur la place d’Italie à Paris, entre forces de l’ordre et manifestants lors de l’acte 53 des Gilets jaunes, une femme présentée par BFMTV comme une Parisienne explique au préfet de police de Paris, Didier Lallement : «Oui je suis Gilet jaune», ce à quoi le haut-fonctionnaire passe son chemin en répliquant, sans la regarder : «Nous ne sommes pas dans le même camp, Madame.»
Les déambulations du préfet Lallement.
Ce fonctionnaire, répondant à une citoyenne, lui répond « nous ne sommes pas dans le même camp, madame. »
Voilà qui illustre la dérive autoritaire: un préfet n’a pas de « camp » dans l’exercice de sa fonction.
— Alexis Poulin (@Poulin2012) November 17, 2019
Via : RT