Voici les marques d’eau en bouteilles qui possèdent des polluants

Les éléments retrouvés sont des traces de pesticides et de médicaments. Mais alors quelles sont les marques d’ eau en bouteilles concernées par ces résultats ? Voici les 10 incriminés avec les particules concernées.

Hépar – Source Hépar

Buflomédil (médicament, vasodilatateur)

Mont Roucous – Source Mont Roucous

 

Tamoxifène (hormone de synthèse utilisée pour lutter contre le cancer du sein)

Saint Amand – Source du Clos de l’abbaye

 

Tamoxifène et Naftidrofuryl (médicament, vasodilatateur)

Vittel – Grande source

 

Hydroxyatrazine (pesticide)

On en parlant dans ce reportage :

Volvic – Source Clairvic

 

Atrazine (pesticide)

Carrefour discount – Source Céline Cristaline

 

Tamoxifène

Cora – Source Saint-Pierre

 

Atrazine

Cristaline – Source Louise

 

Oxadixyl (pesticide)

La Salvetat – Source La Salvetat

 

Tamoxifène

St-Yorre – Source Royale

 

Tamoxifène

Avis de réponse

La CSEM, Fédération Nationale des Eaux Conditionnées et Embouteillées a souhaité réagir. Voici leur droit de réponse.

Nous souhaitons réagir à la publication sur votre site d’un article intitulé « La liste des marques d’eau qui possèdent des polluants dans leurs produits » qui crée un préjudice grave à l’égard de notre profession et des marques citées.

Cet article fait référence à une étude de 60 millions de consommateurs de 2013 dont la méthodologie et les résultats ont été publiquement contestés.

Afin d’avoir un état des lieux complet de la qualité des eaux embouteillées en France, les industriels ont fait réaliser une campagne d’analyses inédite par un laboratoire indépendant reconnu dans la recherche des nano-traces : le laboratoire du CNRS au sein de l’université de Bordeaux.
Les résultats ont confirmé bien au contraire, d’une part la très grande qualité des eaux minérales naturelles et d’autre part qu’elles sont toutes conformes aux normes en vigueur bien au-delà de qu’exige la réglementation. Aucune trace de médicament n’a d’ailleurs été retrouvée.

LES PRINCIPAUX RÉSULTATS
Toutes les analyses ont confirmé la conformité des eaux embouteillées à la réglementation. Les résultats de l’étude montrent également la très grande qualité de ces eaux protégées par leurs situations géologiques exceptionnelles ainsi que par les mesures de protection environnementale mises en œuvre par les professionnels pour préserver ces sources.
• Aucune trace de médicaments ni d’hormones dans les eaux embouteillées sur les 172 médicaments et hormones recherchés.
• Absence des composés recherchés dans 99,7 % des analyses réalisées.
• 100 % des échantillons sont conformes en ce qui concerne les pesticides.
Aucune trace n’a même été détectée dans 78 % des eaux en bouteille étudiées. Lorsque des nano-traces de pesticides ont pu être trouvées, elles sont toujours deux fois inférieures à la limite réglementaire. Ceci est essentiellement lié à des pratiques très anciennes et les niveaux sont infinitésimaux. Les concentrations trouvées sont ainsi en moyenne 10 fois plus basses que les concentrations que l’on observe dans les eaux souterraines peu protégées et l’eau potable. À titre d’exemple, ces valeurs sont également plus de 200 fois inférieures au seuil maximum admis pour les pesticides dans les produits alimentaires, y compris biologiques, généralement fixé à 10 000 nanogrammes/kg par molécule en Europe.

Source : tuxboard.com

S’il est élu en 2017, Mélenchon naturalisera Assange et Snowden et leur donnera la légion d’honneur

Le nouveau Timelapse de Google vous montre ce qui a changé sur Terre depuis 1984