Le 11/09, il y a 23 ans ont eu lieu les attentats aux USA contre le World Trade Center à New York et sur le Pentagone à Washington.
D’après la version officielle, des terroristes aux arrière-plans islamiques, auraient détourné 4 avions de ligne et les auraient utilisés comme armes pour faire tomber le World Trade Center et pour attaquer le Pentagone.
Mais les chercheurs, les scientifiques, les pilotes du monde entier, ne se contentent pas des explications continuelles venant des politiques et des médias. Visiblement, certaines choses ne sont pas claires. Cela fait plutôt penser à un attentat mis en scène, c’est-à-dire que des services secrets auraient effectué ces attentats sur ordre du gouvernement. Et malgré tout, le terrorisme et la lutte contre le terrorisme marquent de manière continuelle l’histoire du monde du XXIe siècle, dont les attentats du World Trade Center ont été considérés comme l’amorce ou pour ainsi dire le coup d’envoi. Des projets de lois, préparés à l’avance par le gouvernement américain, tels que la limitation de la liberté de réunion, de la liberté d’expression, les écoutes téléphoniques et la surveillance du courrier, ainsi que la guerre en Afghanistan et en Irak et beaucoup d’autres choses graves encore ont été mises en œuvre suite au 9 septembre. Par exemple des perquisitions et des arrestations illimitées, sans décision de justice peuvent être pratiquées. Cela se passe également ainsi dans les autres pays en ce qui concerne les actions terroristes, comme par exemple lors des attentats du métro en Angleterre, les attentats en Espagne et en France. En France, le gouvernement a mis en place l’état d’urgence dans tout le pays. Vous en apprendrez plus dans une autre émission.
Nous montrons à la suite un film de 4 minutes qui a été présenté il y a quelques jours, sur une étude actuelle et fondée du Dr Hulsey de l’université d’Alaska, qui dit qu’il est impossible qu’un feu de bureau puisse être la cause de l’effondrement de la tour 7 du WTC, comme la version officielle du gouvernement américain veut le faire croire.
Il existe aussi un petit documentaire d’à peine 20 minutes en allemand, qui a aussi été diffusé il y a quelques jours et qui contredit avec 50 contre-arguments la version officielle du gouvernement américain. Selon ce documentaire il est même prouvé que les attentats sur le World Trade Center et le Pentagone ont été mis en scène.
S’il vous plaît jugez par vous-mêmes s’il n’est pas urgent de reprendre les recherches sur les attentats, d’éclaircir complètement les incohérences et de prendre, en conséquence, les mesures appropriées.
Enfin, il y a une étude universitaire fondée au sujet du WTC7, qui a calculé que la tour numéro 7, qui faisait presque 200 m de haut n’a pas pu s’effondrer à cause d’un feu de bureau. Voici un extrait de la transmission en direct du 7 septembre 2017. Un projet dans lequel pendant 2 ans on a travaillé sur un modèle réaliste du WTC7 reconstruit virtuellement à l’ordinateur. C’est avec une grande impatience aussi que nous avons attendu l’étude du Dr. Hulsey. Maintenant elle est là et elle prouve que toute cette histoire du 11 septembre ne peut pas être vraie.
Les résultats actuels de nos recherches concernant la tour 7 du World Trade Center sont les suivants : L’écroulement du bâtiment n’a pas été déclenché par le feu. C’est ma conclusion. C’est ce que nous avons découvert. Cela se distingue d’autres études plus anciennes. Les conclusions reposent sur les résultats d’ABAQUS et SAP2000. L’étude du NIST d’un effondrement vertical n’est pas en cohérence avec l’effondrement qui a réellement eu lieu. Je renvoie aux images que nous venons de voir de l’effondrement progressif. Cela ne correspond pas du tout avec ce qu’on peut voir. Ce sont deux choses totalement différentes. C’est ce que je veux dire ; vous comprenez ce que je veux dire ?
Financé par l’argent de l’État, le NIST a également examiné la chute du WTC7, mais a donné comme cause des feux de bureau déjà éteints, en gardant le secret sur leur animation et leur calcul.
À titre de comparaison, la tour Torche, qui a brûlé pendant plusieurs heures sans s’effondrer verticalement :
UPDATE [21.02-01:10] FOTO #Dubai #Emirati #incendio in fiamme #grattacielo Marina Torch 79 piani 336 m #emergenza24 pic.twitter.com/sLhQmvhsLG
— Emergenza24 (@Emergenza24) February 21, 2015
D’après les calculs du NIST, une seule colonne aurait cédé à cause du feu, ce qui aurait provoqué l’effondrement symétrique de tout le bâtiment en chute libre jusqu’à ses fondations. À ce sujet ils ont montré quelques extraits étranges de leur enquête, qui ne correspondent absolument pas à ce qui a été réellement vu. Même l’ancien collaborateur du NIST Peter Ketcham a confirmé que le rapport du NIST a été faussé en faveur du gouvernement. Par contre, l’étude du Dr. Hulsey et de son équipe universitaire d’Alaska est beaucoup plus convaincante au niveau physique par rapport à la résistance des matériaux, et elle est aussi en accord avec ce qui a été vu. Cela a apporté une explication de physique satisfaisante. Pour faire tomber 3 tours de telle façon symétrique en chute libre, il a fallu annuler de façon bien ciblée toute la capacité de charge de cette construction en acier. C’est seulement ainsi que peut être expliquée cette vitesse de chute libre également attestée par le NIST.
Bon, chers médias… Il y a donc une multitude de preuves, apportées par des chercheurs qui ont parlé à la télévision et que vous avez diffamés et par les 3000 architectes et ingénieurs pour la vérité sur le 11 septembre. Devant toutes ces preuves, il est grand temps maintenant de faire de vraies excuses pour avoir délibérément évité de remettre en cause pendant des années toute cette histoire américaine de thèses physiques de fantaisie ; et aussi pour avoir apporté votre soutien belliciste à la version officielle du 11 septembre. C’est cela qui a déclenché les vagues de réfugiés et de terrorisme que nous connaissons chez nous. Nous attendons vos excuses…
Le 11 septembre 1990, le président américain George Bush (père), lors d’un discours prononcé devant le Congrès, disait : « Nous nous trouvons aujourd’hui à un moment exceptionnel et extraordinaire. La crise dans le golfe Persique, malgré sa gravité, offre une occasion rare pour s’orienter vers une période historique de coopération. De cette période difficile, notre cinquième objectif, un nouvel ordre mondial, peut voir le jour : une nouvelle ère, moins menacée par la terreur, plus forte dans la recherche de la justice et plus sûre dans la quête de la paix. »
Aussi, constatons que, 11 ans plus tard, jour pour jour, avec Georges Bush « junior », loin d’être une ère de paix, c’est une ère de guerre qui s’était ouverte ; loin d’être le triomphe de la justice, on voyait déjà l’injustice régner partout. Cela ne doit pas nous étonner : la capacité à mentir est l’une des « qualités » requises par l’oligarchie dans le choix de ses « marionnettes »… à l’Ouest comme à l’Est.
« S’ajoutant à la plénitude du 10, qui symbolise un cycle complet, le 11 est le signe de l’excès, de la démesure, du débordement, dans quelque ordre que ce soit ; ce nombre annonce un conflit virtuel. C’est en ce sens que Saint Augustin pourra dire que « le nombre 11 est l’armoirie du péché ». Son action perturbatrice peut être conçue comme un dédoublement hypertrophique et déséquilibrant d’un des éléments constructifs de l’Univers…
Ce caractère est confirmé par le procédé de l’addition théosophique qui, en faisant le total des deux chiffres le composants, donne le résultat 2, c’est-à-dire le nombre néfaste de la lutte et de l’opposition. 11 serait alors le symbole de la rébellion, de la transgression de la loi, du péché humain… de la révolte des anges. » (J. Chevalier & A. Gheerbrant, Dictionnaire des symboles)
« La vérité est que, si le mal n’est qu’un moindre bien, la tendance au mal s’oppose, pour nous, à la tendance bien comme les deux termes d’une antithèse dont la valeur relative nous échappe. Dès lors, comme le deuxième terme d’une dualité est toujours une négation ou une limitation du premier, le Diable, « celui qui dit toujours non », et le mal qu’il personnifie, ont le nombre 2 pour symbole. « Deux, dit Claude de Saint-Martin, est l’opposition à l’unité, de sa production ; deux ne sort de un que par violence, car on n’enlève rien à un ; c’est faire passer l’entier à la qualité de la moitié ; c’est l’origine du mal », et pour Martinez de Pasqually, « le nombre 2 est donné à la confusion où se trouvent les esprits pervers et les hommes qui se joignent à l’intellect de ces mauvais esprits ». Madrolle nous dit que 2 est un nombre faux, laid, faible, stérile et malheureux. » (R. Allendy, Le symbolisme des nombres : essai d’arithmosophie, Le Binaire)
À l’Ecole Pythagoricienne, on enseignait l’unité de la nature féminine, dont le principe de vie ne se divise jamais : c’était le nombre 1. Et la dualité de la nature masculine dont le principe de vie se divise en deux parties : l’une pour être conservée et l’autre pour être donnée à la génération : d’où le nombre 2. L’unité féminine était appelée la « Monade », parce que la femme est l’être indivisé, d’où le mot « individu ». La dualité masculine était la « dyade ». En latin, on disait « homo duplex » pour désigner la contrariété du cœur et de la raison, la duplicité (le double), suprême mystère de l’existence de l’homme.
C’est cette « loi des sexes », expliquée dans le plus grand secret, qui sera cachée dans les livres de la Kabbale et dans le mystère des nombres. Les ouvrages de Kabbale sont des parodies des écrits féminins, comme le Zohar, livre masculiniste relativement moderne. Mme Blavatsky cite la Kabbale comme une source véridique, alors que c’est de là qu’est venu le mensonge.
préparé par le deep state pour permettre d’asservir un peu plus le mondeles salopards n’ont pas hésité une seconde a sacrifier plus de deux mille de leurs citoyens,la corde les attends pour les survivants