Une proposition de loi, déposée sournoisement le 11 juillet, en plein cœur de l’été, vise à imposer la vaccination antigrippale aux professionnels de santé. Derrière ce texte, une machination bien huilée des lobbies pharmaceutiques se dessine, prête à sacrifier la liberté individuelle sur l’autel du profit.
Un cheval de Troie pour l’ARN messager : sous couvert de protéger les patients, la proposition n°1722, portée par des macronistes, ouvre la voie à une obligation vaccinale élargie, mêlant grippe et Covid-19 via des injections ARNm.
Ce « pied dans la porte », comme l’appelle Florian Philippot, risque de transformer les soignants en cobayes d’un marché captif orchestré par Moderna et consorts, tandis que l’opacité estivale facilite ce coup de force.