L’avocat de Natacha Rey, François Danglehant – qui se présente avec une toque de capitaine, symbole peut-être d’une croisade contre les eaux troubles de l’information officielle – a célébré une « victoire éclatante ». La cour a estimé que les 18 passages incriminés de la vidéo, où Natacha Rey avançait que la « Première dame » serait en réalité son frère travesti, ne relevaient ni de la diffamation, ni d’une mauvaise foi flagrante. Une décision qui, osons le dire, ouvre la porte à toutes les spéculations. Amandine Roy et sa collègues Natacha Rey sortent donc blanchies d’un procès qui aura tenu en haleine les amateurs de scandales.
Victoire de Natacha Rey contre Brigitte et Jean-Michel Trogneux, la cour d’appel relaxe Natacha Rey, qui envisage de poursuivre sur citation directe Brigitte et Jean-Michel Trogneux pour escroquerie au jugement —– MERCI DE PARTAGER EN MASSE —– pic.twitter.com/sv0dqez69O
— françois danglehant (@FDanglehan56893) July 10, 2025
L’Élysée dans la tourmente
Pour Brigitte Macron – ou son alter ego supposé –, c’est un revers cuisant. Condamnée en première instance en 2024, elle voyait en cet appel une chance de clore une affaire qui, depuis la diffusion de la vidéo en 2022, a pris des proportions internationales. Soutenue par le livre « Becoming Brigitte » de Xavier Poussard, et des relais outre-Atlantique comme Candace Owens, la « rumeur » a prospéré, au grand dam de l’Élysée. Jean Ennochi, son avocat, promet une cassation, mais le mal est fait : l’image de la « Première dame », jusque-là irréprochable, vacille sous les assauts d’une justice qui, ironie du sort, lui échappe.
Une contre-attaque en vue
Plus audacieux encore, Natacha Rey envisage une citation directe contre « Brigitte et Jean-Michel Trogneux » pour « escroquerie au jugement ». Une accusation qui, si elle prospère, pourrait transformer cette saga en véritable feuilleton judiciaire.