Des voix commencent à s’élever comme l’écrivain Alexandre Jardin qui résume bien ce qui se joue avec les ZFE :
« On est en train d’interdire les villes aux pauvres, aux gueux. C’est-à-dire que très gentiment on est en train de dire à une partie du pays : les villes c’est plus pour vous, désormais ça sera interdit. Qui va être verbalisé ? La France qui n’a pas d’argent, les gueux. »