La France comptait 68,6 millions d’habitants au 1er janvier 2025, soit une hausse de 0,25 % sur un an, limitée par une nouvelle baisse des naissances et une progression des décès l’an dernier, a indiqué mardi l’Insee.
En 2024, 663 000 bébés ont vu le jour dans le pays, soit 2,2 % de moins que l’année précédente, ce qui correspond au plus faible nombre de naissances sur un an depuis 1946. La natalité était déjà au plus bas depuis cette période l’année précédente.
Ce nouveau repli s’explique « principalement par le recul de la fécondité », précise l’Institut national de la statistique dans son bilan démographique annuel. Le taux de fécondité avant 40 ans a diminué en 2024, y compris pour les femmes âgées de 30 à 39 ans, « qui n’étaient pas ou peu concernées par le recul de la fécondité avant la crise sanitaire ».
Pour une fois , les imbéciles ne se multiplieront plus pour saturé nos espaces naturelles . De toute façon ,la France ne fait pas dans le quantitatif mais dans le Qualitatif .