Selon un sondage du torchon « 20 Minutes », la moitié des 18-30 ans sont prêts à s’engager dans l’armée en cas de conflit en France..
La photo qui suit est un modèle du genre multiplicatif.
Le concept de multiplication est à la base de tout sondage : on prend un panel de Français représentatifs de la population, en fonction du sexe, de la classe d’âge, de la catégorie socio-professionnelle, et parfois des votes antérieurs, et on pond une étude d’opinion par la méthode des quotas, c’est-à-dire d’une homothétie.
Simplement, l’erreur, acceptable, de 5 %, peut rapidement se transformer en erreur exponentielle.
Un sceptique a analysé en détails ce sondage, censé facilité le massacre des jeunes Français par l’artillerie russe.
Vous trouverez le lien de l’article ci-dessous, avec ses conclusions pour le moins fantasmagoriques. Le titre de l’article est : « Le sondage qui tue : Selon le journal ’20 Minutes’, la moitié des jeunes sont prêts à s’engager dans l’armée en cas de conflit en France. »
Et voilà comment on manipule les sondages…ces enquêtes ont été conçues par les médias affiliés à l’État dans le but de tromper, d’entraver le débat démocratique 😏 via @pycadalen pic.twitter.com/gq1hVtJACK
— Bob 🐢 (@Bob30031583) March 15, 2025
Pour nous, les choses sont simples : passer de 300 jeunes de 18 à 30 ans à 9,3 millions de jeunes de 18 à 30 ans (la statistique réelle), correspond à un bond de 30 000 fois. C’est-à-dire que l’écart de départ peut être multiplié par 30 000, surtout si la question de départ est floue, et son interprétation encore plus floue. On voit qu’on est dans le total délire, ou le total mensonge.
La seule conclusion qu’on peut tirer de ce énième sondage des journaux, c’est l’escroquerie structurelle de la presse mainstream. Là, c’est du sûr et certain à 100 %, sans la moindre marge d’erreur.
Le lien de l’article est là, avec ses conclusions fantasmagoriques.
Via : egaliteetreconciliation