Trump signe un décret pour déclassifier les archives de l’assassinat de JFK, Israël et le Mossad impliqués !?

Le président Donald Trump a signé un décret exécutif jeudi, libérant des fichiers gouvernementaux supplémentaires associés aux assassinats de l’ancien président John F. Kennedy (JFK), de l’ancien procureur général Robert F. Kennedy (RFK) et du Dr Martin Luther King Jr.

Trump avait promis lors de son rassemblement avant l’inauguration à Washington, le 19 janvier, qu’il publierait les dossiers restants sur les assassinats de JFK, RFK et King dans les jours suivants.

« C’est une grosse affaire », a déclaré Trump en signant le décret dans le bureau ovale.

« Beaucoup de gens attendaient cela depuis des années, voire des décennies. Et tout sera révélé. »

Le FBI a accusé Lee Harvey Oswald, un ancien Marine américain qui avait fait défection en Union soviétique après avoir embrassé le marxisme, d’avoir assassiné JFK en 1963.

Jack Ruby, propriétaire d’une boîte de nuit, a abattu et tué Oswald alors que les autorités le transféraient du quartier général de la police de Dallas à la prison du comté, seulement deux jours après l’assassinat, alimentant des décennies de spéculations et de théories du complot.

L’assassinat de JFK a coïncidé avec une période de méfiance croissante envers le gouvernement fédéral, et de nombreux Américains croient encore qu’Oswald faisait partie d’un complot plus vaste visant à tuer le président.

Le dernier sondage Gallup, réalisé en octobre 2023, a révélé que 65 % des adultes américains rejettent la théorie selon laquelle un seul tireur a tué JFK.

 

Israël derrière l’assassinat de Kennedy ?

Le Mossad, l’agence de renseignement israélienne, aurait été impliqué dans l’assassinat de John F. Kennedy, en raison de conflits majeurs entre JFK et le Premier ministre israélien de l’époque, David Ben-Gurion, au sujet du programme nucléaire israélien. Selon l’auteur Michael Collins Piper, dans son livre Final Judgment, le Mossad aurait été un acteur clé dans la conspiration ayant mené à la mort de Kennedy, utilisant ses vastes ressources et ses contacts dans la communauté du renseignement et le crime organisé pour orchestrer ce complot.

Le principal motif avancé pour cette implication est la volonté de Ben-Gurion de faire d’Israël une puissance nucléaire, qu’il voyait comme une condition essentielle pour assurer la survie de l’État face à ses ennemis dans le monde arabe. Ben-Gurion considérait l’accès aux armes nucléaires comme une priorité absolue pour la sécurité nationale d’Israël. Cependant, Kennedy, fervent opposant à la prolifération nucléaire, refusait catégoriquement d’aider Israël à obtenir ces armes. Cette opposition a conduit à une série de conflits entre les deux dirigeants, notamment une correspondance privée tendue et rarement discutée publiquement.

Ben-Gurion voyait le refus de Kennedy comme une menace existentielle pour Israël, exacerbée par son propre sentiment d’urgence lié aux leçons de l’Holocauste et aux déclarations bellicistes des pays voisins d’Israël, tels que l’Égypte, la Syrie et l’Irak. Ben-Gurion estimait que Kennedy compromettait gravement la sécurité de l’État juif en s’opposant à son programme nucléaire, ce qui a nourri une rancune intense envers le président américain, perçu comme un obstacle à la survie d’Israël.

Ben-Gurion nourrissait également une profonde haine envers la famille Kennedy, en particulier Joe Kennedy Sr., le père de JFK, qu’il considérait comme antisémite et sympathisant nazi durant les années 1930 et 1940. Ce ressentiment personnel, couplé à l’impasse sur la question du nucléaire, aurait conduit Ben-Gurion à ordonner indirectement l’implication du Mossad dans le complot visant à assassiner Kennedy avant de démissionner de ses fonctions en 1963.

Auteur : Les Moutons Rebelles

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