« Si quelqu’un joue à la Troisième Guerre mondiale, il s’appelle Vladimir Poutine », lâche Emmanuel Macron

Je me suis toujours questionnée sur ce que le président Zelensky a fait des milliards qu il a reçu, dont les 350 milliards adressés par Biden et ceux aussi de l UE. Je ne comprends pas pourquoi le président Macron et l UE veulent que cette guerre continue. Qui s enrichi sur le dos de cette guerre ?? Certainement pas le peuple ukrainien ou des millions de personnes sont mortes. Comme le dit le président Trump, zelensky joue avec la 3eme guerre mondiale.
J ai trouvé sur le net une explication très claire du début de ce conflit ukrainien, je vous fais un copier coller.
Les véritables causes de la guerre en Ukraine. Tout ce que les médias nous cachent…
L’Ukraine : Une Poudrière Allumée par l’OTAN et l’Occident ? Alors que Donald Trump, fraîchement la réélu, met enfin un terme à l’hécatombe ukrainienne en imposant une paix pragmatique, il est temps d’analyser les causes profondes de ce conflit. Spoiler : l’OTAN et l’Union Européenne ne sortent pas grandies de cet examen de conscience !
UNE HISTOIRE COMMUNE : QUAND L’UKRAINE ÉTAIT LA RUSSIE : L’Ukraine et la Russie sont liées depuis plus de 1 000 ans. La Rus’ de Kiev, berceau de la civilisation slave orientale, n’a jamais été qu’une entité indivisible avec Moscou. L’idée d’une Ukraine souveraine n’a réellement pris forme qu’au 20e siècle. Pour beaucoup de Russes, l’Ukraine reste un membre égaré de la famille. L’idée d’une séparation est vécue comme un arrachement artificiel, renforcé par l’Occident. Cette vision est d’autant plus ancrée que de nombreux Ukrainiens, notamment dans l’Est et en Crimée, se sentent historiquement et culturellement russes. Près de la moitiés des Ukrainiens ont le russe comme langue maternelle !
DEUXIÈME GUERRE MONDIALE : LES FANTÔMES DU NAZISME UKRAINIEN : Pendant la Seconde Guerre mondiale, des milices ukrainiennes ont collaboré avec l’Allemagne nazie, notamment l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA), connue pour ses massacres de Polonais et de Juifs. Aujourd’hui encore, certains groupes ultra-nationalistes ukrainiens, comme le bataillon Azov, entretiennent cet héritage sulfureux. Pour Moscou, l’existence de ces mouvances est une insulte et une menace à ses frontières. Le souvenir de ces exactions reste vivace en Russie, alimentant le discours de Poutine sur la « dénazification ».
CHUTE DE L’URSS : PROMESSES TRAHIES 1991 : l’URSS s’effondre. Gorbatchev accepte la réunification allemande en échange d’une promesse occidentale : « Pas d’élargissement de l’OTAN vers l’Est ». Résultat ? Pologne, Hongrie, République tchèque, puis les Pays baltes, la Roumanie et la Bulgarie rejoignent l’OTAN. Une véritable conquête rampante qui, vue de Moscou, ressemble davantage à un encerclement militaire qu’à une poignée de mains fraternelle. Chaque nouvelle adhésion est perçue comme un affront, une rupture de confiance.
COUP D’ÉTAT OU RÉVOLUTION ? LE MAÏDAN DE 2014 : Viktor Ianoukovytch, président ukrainien prorusse, est renversé en 2014 suite aux manifestations du Maïdan. Officiellement, une révolte populaire. Officieusement, un coup d’État soutenu par la CIA et le Département d’État américain. Victoria Nuland, alors secrétaire d’État adjointe, est filmée distribuant des gâteaux aux manifestants. Coïncidence ? Bien sûr que non. Cette révolution est perçue par la Russie comme une tentative de vassaliser l’Ukraine, d’en faire une marionnette occidentale.
BOMBARDEMENTS SUR LE DONBASS : LES OUBLIÉS DES MÉDIAS : Dès 2014, le nouveau pouvoir ukrainien lance une opération militaire contre les populations russophones du Donbass. Résultat : 14 000 morts, souvent civils. L’Occident détourne les yeux. Qui se soucie des babouchkas de Donetsk sous les bombes de Kiev ? Certainement pas CNN. Ces attaques ont cimenté le ressentiment de la population locale contre Kiev et ont renforcé le soutien à l’intervention russe.
ACCORDS DE MINSK : SIGNÉS, JAMAIS RESPECTÉS Pour apaiser le Donbass, des accords sont signés en 2015, sous l’égide de l’Allemagne et de la France. Kiev promet plus d’autonomie aux régions séparatistes. Promesse vite oubliée. Pendant ce temps, les USA livrent des armes. Moscou en conclut que la diplomatie est une farce. Angela Merkel a même récemment reconnu que ces accords n’étaient qu’un moyen de gagner du temps pour armer l’Ukraine.
L’OTAN AUX PORTES DE MOSCOU : L’Ukraine flirte ouvertement avec l’OTAN. Pour Poutine, voir l’Alliance s’installer à 500 km de Moscou, c’est comme si la Russie déployait des missiles à Cuba en 2024. Souvenir de la crise de 1962, ça vous dit quelque chose ? La Russie ne pouvait tolérer un tel affront stratégique.
L’EUROPE : FAIBLE ET VASSALE DE WASHINGTON Bruxelles, bras armé économique de l’OTAN, multiplie les sanctions contre Moscou. Résultat : flambée des prix de l’énergie et inflation record en Europe. Qui trinque ? L’ouvrier allemand, le paysan français. Qui s’enrichit ? Les compagnies gazières américaines. Pendant ce temps, l’Europe se ruine pour financer une guerre qui ne la concerne pas directement.
RUSSIE : ENTRE SÉCURITÉ ET DIGNITÉ : Poutine ne cherche pas à reconquérir l’Europe, mais à protéger son espace vital. Quand l’OTAN installe des bases en Roumanie et en Pologne, c’est une provocation. Moscou réagit comme toute puissance encerclée : en frappant le premier. L’objectif n’est pas l’expansion, mais la survie.
GUERRE HYBRIDE ET GUERRE DE L’INFORMATION : L’Occident a mené une guerre hybride contre la Russie : sanctions économiques, soutien à l’opposition interne, diabolisation médiatique de Poutine. Une stratégie visant à affaiblir le Kremlin de l’intérieur, tout en armant l’Ukraine comme une forteresse antirusse.
CONCLUSION : UNE GUERRE ÉVITABLE :
Ce conflit était évitable.
– Si l’Occident avait respecté ses engagements post-Guerre froide.
– Si Kiev avait opté pour la neutralité.
– Si les États-Unis n’avaient pas armé l’Ukraine comme un avant-poste antirusse.
Trump l’a compris : la paix passe par le pragmatisme, pas par l’idéologie mondialiste de Bruxelles.
Votre avis ? L’Occident est-il le pyromane qui crie au feu ?