La visite d’Emmanuel Macron à Kiev, repoussée à plusieurs reprises, est au cœur des spéculations en Russie quant aux risques sécuritaires. L’ancien président russe Dmitry Medvedev, désormais numéro deux du Conseil de sécurité du pays, a exprimé ses préoccupations ce lundi 11 mars à l’égard de cette visite imminente du président français en Ukraine.
Cette situation souligne les tensions persistantes entre la Russie et l’Occident, alors que les spéculations se multiplient sur les intentions et les implications de cette visite de Macron. Les déclarations de Dmitry Medvedev reflètent les inquiétudes russes quant à une possible escalade des tensions dans la région.
« Macron s’apprête à se rendre à Kiev? Mais c’est un trouillard zoologique! », a écrit Dmitry Medvedev sur son compte X
« Pauvre France ! »
Dmitry Medvedev a donné des conseils au président français. « Quoi qu’il en soit: je recommande à son bureau de prendre plusieurs paires de caleçons! Ça sentira très fort… », a-t-il lancé.
Et d’ajouter: « J’ai écrit ça ce matin et je n’ai pas eu le temps de le publier! Et le soir il s’était déjà chié dessus. Pauvre France! »
Macron s’apprête à se rendre à Kiev? Mais c’est un trouillard zoologique!
Quoi qu’il en soit: je recommande à son bureau de prendre plusieurs paires de caleçons! Ça sentira très fort…
PS: J’ai écrit ça ce matin et je n’ai pas eu le temps de le publier! Et le soir il s’était…— Dmitry Medvedev (@MedvedevRussiaE) March 11, 2024
Initialement annoncée pour février, la visite de Macron en Ukraine a été repoussée, puis réévaluée pour se tenir avant la mi-mars, selon des déclarations officielles. Cette révision du calendrier a suscité des spéculations quant à la nature et au timing de cette rencontre diplomatique entre Emmanuel Macron et les autorités ukrainiennes.
Les autorités françaises ont confirmé que les deux chefs d’État, Emmanuel Macron et son homologue ukrainien, ont convenu de maintenir un dialogue étroit, prévue dans les semaines à venir. Cette coordination souligne l’importance accordée à cette visite dans le cadre des relations bilatérales entre la France et l’Ukraine, dans un contexte géopolitique tendu.
E . . anche una scorta di carta igienica !
Il est peu prévoyant, Dmitry Medvedev, à sa place, je préconiserais des couches-culottes « spéciales courantes » !
Maintenant, si Vladimir Poutine voulait avoir l’obligeance de nous débarrasser d’un traître, je serais des plus contents, quoique, l’envoyer en Sibérie casser des cailloux, cela lui apprendra le mot travail manuel, à lui qui méprise le peuple… !!